Dans l’article sur les zones érogènes, nous avons vu que ces endroits de plaisir étaient les mêmes chez les hommes et les femmes, et que les femmes ressentaient des sensations plus fortes dans certaines zones.
D’après le médecin-sexologue Gérard Leleu, cette sensibilité érogène moins développée chez les hommes est due à des facteurs socioculturels (religion, éducation, notion de virilité, etc.) [cf. « Le traité des caresses« ]. Les hommes seraient ainsi beaucoup moins touchés que les femmes dès leur enfance, et ils auraient moins de possibilités de développer leur potentiel orgasmique. La bonne nouvelle, puisqu’il s’agit « uniquement » d’un conditionnement culturel, c’est qu’il suffit de modifier son environnement pour que cela évolue !
Un manque de sensibilité érogène n’est pas figé dans le temps et peut évoluer !